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 Conte de Faits (Octobre 2006)

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Rhadamante

Rhadamante


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MessageSujet: Conte de Faits (Octobre 2006)   Conte de Faits (Octobre 2006) Icon_minitime21/11/2006, 08:24

Conte De Faits

Le chevalier blanc descendit de son grand rouan, replaçât son écu dans son dos et dégaina son glaive d’une traite. La légende disait : « Le dragon qui sommeille en elle la dévore d’appétit ». Le chevalier s’était aussitôt mis en tête de sauver la gente damoiselle afin de la sauver des griffes de la vile bestiole. Le château noir s’ouvrit devant le preux personnage. Un serviteur lugubre vint à son encontre. Son visage émincé, sombre et ses habits en haillons ne présageaient rien de bon. Il tendit son glaive devant lui, prêt à faire front.
« Mon brave seigneur, point n’ayez crainte de moi. La damoiselle m’envoie à votre rencontre pour guider votre lame purgatoire devant la bête. »
Le chevalier émit une mimique interrogatrice avant de prendre parole.
« Oyez mon ami mon désarroi, j’eusse galopé depuis mon fief afin de rendre secours à la gente de ces lieux. Comment puissiez-vous être ici en ces lieux maudits ? »
Le serviteur sourit avant de prendre le chemin vers la tour principale tout en contant :
« Voyez messire, le dragon n’est pas encore venu.
-Plaît-il ?
-La bête demeure en son sein.
-Quelle baliverne me contez-vous ?
-La bête est en son ventre, elle rugit de colère et de frustration.
-Cela est horrible, je mettrais fin à cette abomination d’un coup d’estoc.
-Point n’est-il messire. Si vous mettez fin à la bête de cette manière, vous tuerez la belle avec.
-je vous promets que je trouverais manière à vaincre ! »
Le serviteur soupira, les hommes seront donc tous les mêmes. Personne de comprendra donc la véritable mal qui sommeille en sa dame. Les deux hommes montèrent au plus haut de la tour. La belle attendait, allongée sur un baldaquin blanc. Ses cheveux noirs aux reflets or accentuait son regard d’un marron pur. Ses hautes pommettes et son air jovial contrastaient avec le terrible malheur dont elle était victime. Elle s’agenouilla au bord du lit. Le chevalier vint auprès d’elle et posa une main apaisante sur ses épaules.
« Mademoiselle, je viens à vous afin de vous libérer de vos tourments. Parlez-moi de tout, j’enquêterai sur vos récits. »
Ils parlèrent longtemps, se rapprochant au fur et à mesure l’un de l’autre. Mais la bête se réveilla et rugit à l’intérieur de la belle. Le chevalier sursauta et pointa aussitôt son épée vers le ventre.
« Sors de là démon et vient te frotter à ma lame, tonitrua-t-il.
-Mon doux seigneur, ne me craignez point. Je ne connais pas le mal qui me guette mais celui-la ne vous fera aucun mal. Il se terre en moi et dévore mes entrailles chaque jour. »
Il rangea son épée et se rassit auprès d’elle. Il passa une main dans ses cheveux et lui embrassa la paume des mains.
« Je ne comprends pas encore l’origine de ce mal. Mais je vous garanti mon gant et mon épée pour lutter contre cela.
-Merci, mon chevalier. »
Elle lui posa un baiser sur la joue puis se rallongea, en proie au dragon. Le chevalier se retira et médita tout l’après-midi sur le pourquoi du comment. Le soir vint et il fut invité à la table pour le soupé. La dame avait revêtu une somptueuse robe noire aux dentelles complexes et aux dessins énigmatiques. Le chevalier avait enlevé son plastron et s’était muni d’un ensemble noir et rouge, ressortant son teint anormalement blanchâtre pour un chevalier de son ampleur. Le couple s’assit d’un côté et de l’autre de la table, les yeux ne se quittant plus. Le repas fut rapidement apporté par le serviteur. La dame soupira de mécontentement. Le serviteur avait revêtu pour l’occasion l’habit traditionnel du château, un bleu nuit sur une lune brodée d’argent. Le soleil se coucha peu à peu sur le domaine, éclairant la salle d’un rouge profond. Les yeux du chevalier brillèrent d’une lueur malsaine, prenant la couleur du soleil couchant. Le serviteur remarqua aussitôt ce changement et sourit à pleines dents, révélant ses deux canines plus grandes que la normale. Le chevalier comprit alors de quel mal souffrait la dame. Cette dernière se servit à contrecoeur, piqua un morceau de viande blanche de sa fourche et le mangea. Elle le régurgita et fut prit de sursaut de dégoût. Elle tomba au sol et se mit à trembler. Le chevalier courut aussitôt la soutenir dans ses bras. Il fixa le serviteur dans les yeux, ce dernier lui répondit d’un hochement de tête. Le chevalier prit alors un couteau et s’ouvrit les veines du poignet. Il le tendit au dessus de la bouche de la belle. Le sang coula le long de ses lèvres, soulignant sa sensualité. Il s’écoula lentement dans sa gorge. Les instincts de la dame se réveillèrent, elle but le sang, se réchauffant de son goût sucré. Elle leva la tête et couvrit la plaie de ses lèvres. Elle but longtemps, caressant le bras du chevalier. La dame s’arrêta pour enlacer de ses bras le chevalier vampire et l’embrassa, une goutte de sang coulant le long de son menton. Il la prit dans ses bras, les lèvres collaient aux siennes, la robe noire tombant jusqu’au sol. Son bras cicatrisa rapidement.
Il la posa délicatement sur le baldaquin et s’allongea près d’elle, les jambes se croisant et s’entrecroisant. Sa main caressa ses cheveux, son torse avant de descendre vers ses cuisses. Il remonta la jupe, sa main frottant le long de ses jambes et descendit ses bas dans le mouvement contraire. Il promena lentement sa main le long de la jambe avant de lui détacher le corset. Elle déboutonna son pourpoint et profita de l’occasion pour l’embrasser dans le cou. Le chevalier pivota se retrouvant sous la damoiselle, désormais assise sur lui. Il passa ses mains son sa jupe et lui caressa les hanches. La dame se pencha et l’embrassa à plusieurs reprise sur la bouche, caressant ses cheveux d’une main et retirant sa chemise de l’autre.
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