Rôles et Légendes
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 Légendes

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Rhadamante

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MessageSujet: Légendes   Légendes Icon_minitime20/4/2007, 08:44

La légende du Roi d'Is
(ceci est une version, il existe d'autres versions)

Entre la Loire et la Seine, sur la côte maritime de la Bretagne, on trouve des ruines de villes et des travaux considérables que les flots de la mer ont détruits d'une façon spontanée et que les temps anciens n'ont pas enregistrés dans leurs annales.

Tous ces bouleversements datent d'une époque fort reculée et qui remonte bien certainement à plus de dix à douze mille ans. Surtout quand on remarque le temps considérable qu'il faut aux flots de la mer pour ronger et détruire des roches granitiques, comme dans la baie de Douarnenez par exemple, où l'on est assuré qu'il y avait autrefois plusieurs villes ou au moins une très grande ville qui occupait tout l'espace compris entre la pointe de la Chèvre jusqu'à la baie d'Audierne ; les traditions indiquent aussi que la grève qui s'étend de Penmarc'k au Raz et du Raz jusqu'à l'île d'Ouessant était couverte de cités. Ce qui permet de dire que les grandes fractures du globe survenues à la suite du déluge ont anéanti la ville d'Is et tous les monuments druidiques dont on voit encore une partie à la pointe de Penmarc'k à 4 m, 50 environ au fond de l'eau aux marées d'équinoxe, et cela jusqu'à 4 et 5 kilomètres en mer.

On est aujourd'hui assuré que les ruines de Douarnenez, de Crozon, du cap de la Chèvre et de Vannes ont été faites à l'époque du grand déluge. Ces cataclysmes nous ont été transmis sur la plage de Douarnenez par la légende de Gralon ; à Cadix, par celle du voyage de l'Hercule Celtique d'Og-mi.

Une légende celtique nous apprend qu'à la pointe de l'île de la Chèvre il existait une ville dénommée Is, gouvernée par le roi Gralon, lequel roi avait une fille unique nommée Dahu qu'il adorait. Or, le faste, le luxe et la débauche régnaient en souverains dans l'opulente cité de Gralon, et sa fille n'était pas des moins dépravées parmi les belles femmes d'Is. Gralon gémissait des débordements de sa chère fille et de son peuple et priait Dieu de leur ouvrir les yeux ; mais ce fut en vain. Aussi, un jour, le soleil s'éclipsa et une comète avec une immense queue parut à l'horizon ; c'était le présage d'une catastrophe imminente. Or, la nuit même de ce jour, Dahu présidait un superbe banquet qu'elle offrait à mille convives. La princesse donna la signal de la fête, en vidant d'un trait une grande coupe ou Hanap de Cervoise (sorte de bière) ; puis, saisissant un coutelas de chasse, elle se mit à découper un énorme élan, puis un sanglier et deux marcassins ; le fumet de ces victuailles réjouissa fort l'odorat des convives, flatta leur palais et excita au plus haut point leur énorme et vaste appétit.

Mais à peine le festin fut-il commencé que les éclats de voix des convives firent résonner le palais de Gralon ; en même temps tous ces débauchés entendirent dans les premiers plans de l'Astral des voix sinistres ; la terre trembla, les convives quittèrent affolés la salle du festin, se précipitèrent dans les sentes, les rues et les chemins dans lesquels régnait une obscurité si profonde, une nuit si noire, que l'on ne pouvait voir au ciel briller "le chemin de l'hiver".

L'éclair seul déchira la nue, le tonnerre gronda, l'orage s'amoncelât et éclata bientôt en versant sur la ville d'Is de tels torrents d'eau, qu'elle disparut bientôt avec tous ses habitants.

Gralon, malgré sa vieillesse, rassembla à la hâte tout ce qu'il avait de plus précieux, et il plaça, avec ce trésor, sa fille sur un coursier fougueux qu'il monta lui-même pour en diriger la course, mais le flot, plus agile encore que le fougueux animal, lui arracha son fardeau et l'engloutit dans un immense tourbillon.

Il semblait dès lors que la Justice divine était satisfaite, car le calme revint tout à coup, mais la malheureuse cité d'Is, cet immense réceptacle de débauche et d'infamie, resta à jamais englouti sous les eaux, avec un vaste continent.

C'est aujourd'hui la mer Atlantique. Les Bretons de la baie de Douarnenez prétendent voir errer, encore de nos jours, les âmes ou plutôt les doubles éthériques sous la forme de corbeaux ; les malheureux semblent voltiger de roche en roche sur les lieux mêmes où Gralon et sa fille ont anciennement péri.
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MessageSujet: Re: Légendes   Légendes Icon_minitime20/4/2007, 08:50

La légende du Barde Cervorix



Il existe une tradition ou plutôt une légende qui nous apprend la mort d'un Barde célèbre, de Cervorix.

Non loin de la Saône, dans la pays des Aulerques-Brannovie, dans un bois consacré à Bélénos, un soir, le Barde Cervorix, assis sur un rocher solitaire (car il était entouré d'eau), instruisait ses disciples qui, tête nue, écoutaient ses paroles.

Cervorix pinçait les cordes d'une lyre d'ivoire enrichie de lames d'or. Cette lère epta corde était un présent des Druidesses de l'île de Sena.

Tout était calme autour du Barde : l'eau, la terre, la forêt, ainsi que la voûte éclatante du ciel parsemée d'étoiles. Les disciples écoutaient les accents du poète, qui leur détaillait les merveilles du firmament, en leur faisant admirer la marche régulière et continue des astres, qui roulent dans l'espace infini.

Tout à coup l'horizon s'obscurcit, des nuages épais étendent leurs voiles sur lui, un vent impétueux se met à souffler et à secouer les arbres, tandis que voltigent, autour de la tête du Barde des oiseaux de nuit. Un orage sinistre semble s'avancer, car les chiens hurlent sur la montagne. Alors Cervorix s'écrie avec dédain : "L'homme en tant que matière n'est que lourdes vapeurs et fétides exhalaisons. Son enveloppe corporelle comprime les élans de son âme et retient ses meilleurs instincts, ceux, par exemple, qui lui commandent de quitter la terre pour une demeure plus fortunée. Qu'est-ce que la vie ? Rient ! Ce n'est pas le moment passé, celui qui va passer, mais le bon emploi du temps, qui est chose importante ! Enfants de la Celtique, vivez en paix, songez à l'éternité et dites à tous que vous avez vu et connu le Barde Cervorix."

Ayant ainsi parlé, il brisa sa lyre et des hauts du rocher sur lequel il se trouvait, il se précipita dans les flots. C'est pour perpétuer sa mémoire, que les Druides nomment cette chute d'eau le Saut de Cervorix devenu le Saut de la Cervèze par corruption du célèbre Barde.

Le lendemain de ce triste jour un immense bûcher orné de fleurs et couvert d'aromates fut dressé près d'un dolmen et à l'heure de minuit, au moment où les sept étoiles de la Grande Ourse se reflétaient sur la surface de l'eau que contenaient sept troux de la table de l'autel Druidique, deux ministres d'Esus levant les mains au ciel, mirent le feu au bûcher, après avoir adressé au Dieu une sincère prière.

Les Druides, la Druidesse, une jeune vierge et un Barde firent le tour du bûcher ; l'un des Druides jeta une coupe d'ambre, l'autre une lyre d'ivoire, la Druidesse son voile, la jeune fille une mèche de ses blonds cheveux, enfin le Barde, sa saie blanche comme le lys de la vallée.

"Pleurez cette mort, dirent au peuple les Druides, on l'a accordée à votre amour ; mais chantez à jamais le trait de courage et de dévouement du Barde Cervorix !"

Après la cérémonie de l'incinération, les cendres du Barde furent mises dans une urne en verre de couleur, sur laquelle avait été emaillée cette inscription :

"Mortel ! Apprends d'où tu viens, où tu vas, regarde cette poussière. Elle fut ce que tu es, tu seras ce qu'elle est."

Telle est l'origine du monde de la chute d'eau de la vallée de la Grosne.
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MessageSujet: Re: Légendes   Légendes Icon_minitime20/4/2007, 08:50

La légende du gui



Ram avait quitté la Gaule sous l'enseigne du Bélier (Aries) pour se diriger, du côté de l'Orient, de l'Inde, afin d'empêcher les Celtes d'en venir aux mains, de se livrer à une guerre fratricide ; il avait déjà traversé la Scythie et d'autres pays, quand ses compatriotes, à la tête desquels il se trouvait, furent frappés d'une maladie cruelle, dans laquelle il crut voir un juste châtiment de la Divinité envers les hommes de sa race, qu'il avait à grand peine dissuadés de combattre leurs frères. Cette maladie, sorte de lèpre, couvrait le corps tout entier de plaques noires et pustuleuses, qui provoquaient l'enflure des membres, ensuite le corps se couvrait d'ulcères qui déterminaient la mort, de sorte que les Celtes mouraient en grand nombre, par milliers, nous dit la tradition.

La grande Prêtresse, la Voluspa, consultée, ordonna, mais en vain, des sacrifices expiatoires, la mortalité ne cessa pas pour cela.

Ram avait l'habitude de méditer sous un chêne ; un jour, après une très longue méditation sur les malheurs qui frappaient sa race, il s'endormit. Pendant son sommeil, il entendit une voix qui l'appelait par son nom, il regarda et vit devant lui, dans son sommeil, un homme d'une haute stature, à l'aspect majestueux, revêtu d'une robe blanche qui portait une baguette sur laquelle s'entrelaçaient deux serpents et cet homme lui dit : "Ram, le remède que tu cherches, il est là, au-dessus de toi" ; puis, tirant de son sein une faucille d'or, le personnage coupa sur le chêne un gui et le remit à Ram, avec de grandes marques de vénération ; il lui donna en même temps une recette pour composer un élixir, puis il disparut.

Ram s'éveilla tout à coup, fortement ému de ce rêve qu'il sentait prophétique ; il se prosterna au pied du chêne sous lequel il se trouvait, y aperçut un gui, le cueillit avec respect et l'emporta sous sa tente enveloppé dans la toile qui lui servait de ceinture (tayola), puis il se mit à prier et commença les opérations qu'il avait recueillies dans la bouche du Druide du Plan astral.

Ayant obtenu la précieuse liqueur, il en expérimenta les effets sur un malade condamné. A peine celui-ci eut-il absorbé quelques gouttes de la liqueur, qu'il revint à la vie, comme par miracle, et tous les malades ultérieurement traités furent guéris de même. Aussi, de toute part, on accourut vers Ram. Le Collège sacerdotal fut assemblé, et l'Archidruide ayant appris du chef celte de quelle manière il avait découvert le remède admirable qui assurait le salut à tous, il fut décidé que le gui deviendrait une plante sacrée et que la préparation de l'Elixir serait transmise oralement de l'Archidruide aux deux plus anciens Druides.
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MessageSujet: Re: Légendes   Légendes Icon_minitime20/4/2007, 08:51

La légende de la naissance de Taliésin



Taliésin fut un Barde qui a illustré la poésie bretonne ; fils d'Omis, il était considéré comme le Prince des Bardes, des Prophètes et même des Druides de l'Occident.

Comment serait-il né ? C'est toute une légende que l'histoire de cette naissance, en voici une succincte analyse.

Un jour qu'un petit nain, un Esprit, Gwion, veillait sur le vase mystique contenant l'eau précieuse de la Divination, trois gouttes brûlantes de cette eau tombèrent sur la main du nain, aussi la porta-t-il soudainement à sa bouche ; dès lors l'avenir et les mystères du monde lui furent dévoilés. La Déesse protectrice de cette eau, très irritée de voir ce nain en possession du don de divination, voulut le mettre à mort, mais celui-ci s'enfuit et, comme il possédait la science, il se métamorphosa successivement en lièvre, en poisson et en oiseau, tandis que, de son côté, la Déesse, pour l'atteindre, prenait la forme d'une levrette, d'une loutre et d'un épervier. Gwion ayant eu la mauvaise idée de se transformer en grain de blé pour se cacher ainsi au milieu d'un gros tas, la Déesse se changea en poule noire et de son oeil perçant distingua parfaitement, au milieu du tas de blé, Grain-Gwion et l'avala ; mais par ce fait elle devint enceinte et, au bout de neuf mois, elle mit au monde un fort bel enfant, ce fut Taliésin.

Taliésin fut un grand ennemi de la poésie populaire que propagea le Christianisme pour déconsidérer les Bardes druidiques. En effet, pour s'implanter dans les Gaules, le Christianisme ne craignit pas de créer aussi des faux Bardes, des poètes sans valeur aucune. Ces hommes sans talent, sans tradition, sans science, singeaient bien les vrais Bardes, mais ils n'avaient pas, tant s'en faut, leur valeur, ce ne furent guère que des ménestrels, des sortes de figaros de village.
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MessageSujet: Re: Légendes   Légendes Icon_minitime20/4/2007, 08:51

La légende du Barde Aneurin



On ne sait pas la date de naissance d'Aneurin, on ne connait que la date de sa mort survenue en 578 ; c'est donc un Barde du 6ème siècle. On lui donne pour père Caw-al-Geraint, chef des Gododins, c'est-à-dire habitants d'une région voisine des forêts.

Ayant échappé à la mort à la suite de la bataille de Cattracth, il se réfugia à la Cour du roi Arthur, dans la Galle du Sud, où il se lia d'amitié avec Taliésin. Aneurin ne nous a laissé qu'un poème, les Gododins, qui ne comporte pas moins de 900 lignes rimées, mais d'une longueur irrégulière, et cet ensemble ne forme qu'une partie, un fragment du poème consacré à la mémoire des guerriers, qui succombèrent à la bataille de Cattracth, défaits par les Saxons, dans laquelle bataille 359 chefs périrent ; seuls quatre purent échapper à la mort et Aneurin fut l'un des quatre ; mais il fut fait prisonnier, après la bataille. C'est pendant sa captivité qu'il composa son poème, comme il a soin de nous l'apprendre lui-même :

"Dans cette maison souterraine, malgré la chaîne de fer qui lie mes genoux, mon chant des Gododins n'est-il pas plus beau que l'Aurore ?"
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MessageSujet: Re: Légendes   Légendes Icon_minitime20/4/2007, 08:51

La légende du Barde Kian ou Gwenc'hlan



Parmi les poèmes populaires chantés en Bretagne, il existe un fragment qui a pour titre : Prophéties de Gwenc'hlan, surnom d'un Barde du 6ème siècle, dont le véritable nom est Kian.

Voici ce que la Tradition nous apprend au sujet de ce poète.

Gwenc'hlan fut longtemps poursuivi par un prince étranger, qui, s'en étant emparé un jour, lui fit crever les yeux et le jeta dans un noir cachot où il le laissa mourir ; mais le Barde en expirant lança contre le prince une imprécation qui ne fut pas sans effet, puisque bientôt après le prince fut frappé de mort sur un champ de bataille !

Voici ce que nous dit, dans son Introduction, Hersart de la Villemarqué au sujet de ce Barde :

"Gwenc'hlan prédit avec une joie féroce qu'un jour les hommes du Christ seront traqués et hués comme des bêtes sauvages, qu'on les égorgera en masse ; que leur sang, coulant à flots, fera tourner la roue du moulin et qu'elle n'en tournera que mieux. Ce n'est point la chair pourrie de chiens ou de moutons, c'est de la chair chrétienne qu'il nous faut."

Puis, dans une poétique imprécation, il voit le chef armoricain attaquer son rival ; il l'excite ; l'ennemi tombe baigné dans son sang ; il voit son cadavre abandonné sur le champ de bataille devenir la pâture des oiseaux de proie ; il livre sa tête au corbeau, son coeur au renard, et son âme au crapaud, symbole du génie du mal.
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MessageSujet: Re: Légendes   Légendes Icon_minitime20/4/2007, 08:51

La légende du Barde Gildas



Le Barde Gildas était loin d'avoir la même haine que Gwenc'hlan pour les chrétiens. Ce fut au contraire un poète bien pensant ; il passe pour l'un des derniers Bardes avec ses confrères Sulio et Hyvarion. Ces deux dernières se firent moines ; quant à Gildas, qui se convertit au Christianisme, il "oublie sous le froc que, dans sa jeunesse, il avait fait partie du corps des Bardes et il déclame contre eux."

Aussi l'Eglise en fit-elle un Saint, de même que Sulio, naturellement. Hyvarion quitta l'île de Bretagne pour se rendre sur le continent et y exercer son art.

L'alchimiste Albert le Grand nous dit :

"Comme il était parfait musicien et qu'il composait des ballets et des chansons, le roi Childebert, qui aimait la musique, l'appointa à sa maison et lui donna des gages."

Il se maria dans l'Armorique ; il existe même au sujet de ce mariage la légende curieuse que voici : une nuit, il songea qu'il avait épousé une jeune vierge du pays, belle et sage. Un angle lui était apparu et lui avait dit :

"Demain, sur ton chemin, tu rencontreras la femme que tu dois épouser ; ce sera près d'une fontaine."

Effectivement, le lendemain, il rencontra la jeune fille près de la fontaine ; il l'épousa eut d'elle un enfant aveugle, on le nomma Hervé. Dès l'âge de cinq ans, il se mit à chanter des cantiques que sa mère composait à son intention ; plus tard, il chanta ceux qu'il composait lui-même.
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