Rôles et Légendes
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 Légendes de 71 à 80

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Rhadamante

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MessageSujet: Légendes de 71 à 80   Légendes de 71 à 80 Icon_minitime2/2/2007, 04:05

Les Jentils de Leizadi

Les Jentils, qui vivaient dans la grotte de Leizadi, descendaient au lieu dit Aizgerriko aux maisons Begiriztain et Ayorre.
Par leurs chants ils réjouissaient les gens. Tous les jours l'un d'eux allait voir un berger qui se tenait dans la grotte inférieure de Leizadi, il lui demandait du lait. Le berger lui en donnait jusqu'à ce que, fatigué d'être tant de fois importuné, il chauffa la pierre qui servait de siège au Jentil lors des visites au cours desquelles il buvait du lait.

Lorsqu'il vint, il s'assit donc comme de coutume mais il dut se lever vite s'étant brûlé les fesses.
Il quitta cet endroit à jamais.
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MessageSujet: Re: Légendes de 71 à 80   Légendes de 71 à 80 Icon_minitime2/2/2007, 04:13

Le septième commandement

Un jour, tandis que le seigneur Jésus et saint Pierre allaient ça et là, dans le pays basque, saint Pierre entra dans une violente colère. Il observait que, à gauche, à droite, maîtres et serviteurs, vendeurs et acheteurs, travailleurs et fainéants, tout le monde se livrait au vol.

-" Seigneur, vous devez infliger une bonne correction à ces coquins de voleurs !."
-" Tais-toi, Pierre ! comme si c'était là des voleurs !... "
-" Ils ne sont pas des voleurs ! Que sont-ils donc ?"
-" Pour qu'il y ait des voleurs, il faudrait un septième commandement. Or, depuis pas mal longtemps, d'entre mes commandements les hommes ont rayé le septième. Voilà pourquoi il n'y a plus ni vol, ni non plus de voleurs."
-" Mais, c'est que, vous, vous n'avez pas rayé ce commandement !..."
-" C'est cela même, Pierre, aussi, que les hommes le veuillent ou pas, il y a toujours - hélas !- des voleurs qu'il faudra châtier."
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MessageSujet: Re: Légendes de 71 à 80   Légendes de 71 à 80 Icon_minitime2/2/2007, 04:14

Le cailloux et la bouse de vache

Le seigneur Jésus et saint Pierre s'en allaient un jour ensemble. Saint Pierre, s'étant mis a regarder aux alentours, heurta du pied une grosse pierre, et le pauvre en prit bien mal ! Il se fâcha et pris la pierre dans ses mains pour la lancer à tour de bras. Mais le seigneur Jésus, alors, lui dit:
-"Ne te fâche pas ainsi ! De cette rude pierre je ferai le basque."
Et ainsi fit-il. Plus loin, tandis qu'ils cheminaient encore, saint Pierre glissa sur une bouse de vache et failli tomber de tout son long. L'infortuné se fâchait encore, mais le seigneur Jésus lui dit:
- "Ne te fâche donc pas, Pierre ! Prends garde seulement où tu pose le pied ! Q'allons-nous faire de cette bouse de vache ?
- "Faites- en le gallego, seigneur.
- "Nous allons donc en faire un gallego, Pierre."
Et ainsi fit le seigneur Jésus.
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MessageSujet: Re: Légendes de 71 à 80   Légendes de 71 à 80 Icon_minitime2/2/2007, 04:15

Jésus Christ et le vieux soldat

Une fois, Jésus-Christ s'en allait avec ses disciples vers Jérusalem, il rencontra un vieil homme et lui demanda l'aumône. Le vieil homme lui dit :
«Je suis un vieux soldat et on m'a renvoyé de l'armée avec seulement deux sous, parce que je n'étais plus bon à rien. J'ai déjà donné un sou en chemin, il ne m'en reste qu'un et je vous le donne. »
Alors Notre Seigneur lui dit : « Que voudrais-tu, un sac d'or ou le paradis ? »
Saint Pierre donna un petit coup de coude sur les côtes du vieil homme : « Dis le paradis. »
« Quoi ! le paradis ! » dit le vieux soldat. « Après aussi, nous aurons le paradis. Je préfère un sac d'or. »
Et Notre Seigneur lui donna le sac d'or et il le lui donna en disant ;
«Quand ce sac sera vide il te suffira de dire: Artchila murîchila ! entrez dans mon sac ! et tout ce que tu voudras entrera dans le sac. »
Notre homme prit le sac et se remit en marche. Après avoir parcouru un petit bout de chemin, il passa devant la porte d'une auberge et vit sur la table un beau gigot de mouton. Il avait faim, et, ouvrant son sac, il dit :
« Arîchila murtchila ! délicieux gigot de mouton, entre dans mon sac ! » et dans l'instant il se trouva à l'intérieur et de même il eut tout ce qu'il voulait.
Un jour le diable vint tenter ce vieil homme, mais, sitôt qu'il l'entendit, il ouvrit son sac et dit :
« Artchila murtchila ! entre dans mon sac ! »
Et le diable lui-même entra dans le sac. Il porta le sac, avec le diable dedans, chez un forgeron, qui le frappa très fort et longtemps avec son marteau.
Quand le vieux soldat mourut, il alla au paradis. Quand il arriva là-bas saint Pierre lui apparut et lui dit :
« Que faites-vous là ? Et que voulez-vous ?
Le paradis.
Quoi ! Le paradis ! N'as-tu pas préféré avoir un sac
d'or quand Dieu t'a donné le choix? Hors d'ici. Va en enfer. Les portes sont là. »
Notre vieil homme, plein de tristesse, s'en alla à la porte de l'enfer et frappa, mais sitôt que la porte fut ouverte le diable reconnut son soldat et se mit à s'écrier :
« Ne le laissez pas entrer ! Ne le laissez pas entrer ! Il nous causera trop de problèmes et trop de malheurs. Il est très méchant ! »
Et il ne voulut pas le recevoir, aussi il retourna au paradis et Dieu ordonna à saint Pierre de laisser entrer l'homme qui avait été un tel ennemi pour le diable.
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MessageSujet: Re: Légendes de 71 à 80   Légendes de 71 à 80 Icon_minitime2/2/2007, 04:15

Le serpent d'Alçay

A la lisière du bois de Zouhoure, un pâturage est sur le versant de la montagne Azaléguy, et, au milieu du versant, un antre dominant un abîme.
Autrefois les pasteurs d'alentour perdaient leur bétail et n'en trouvaient trace nulle part.

Un jour, un effroyable serpent sortit de l'antre pour aller boire. On vit sa tête à l'eau du ruisseau, et la queue encore près de l'antre. Il attirait les brebis par sa seule aspiration et les engloutissait. Que fallait-il donc faire ?.

En ce temps, il y avait à Athaguy un chevalier, cadet de cette maison, qui n'avait peur de rien. Il voulut savoir s'il serait maître du serpent. Il mit une peau de vache pleine de poudre sur sa monture et s'en fut.
Quand il arriva à Harburia, il attacha sa monture à une aubépine. De la crête de la montagne d'Azaléguy, il fit rouler par bonds et par sauts la peau au-devant de la caverne. Ah ! Bien ! Le Bon Dieu lui avait donné l'agilité.
Il monta son cheval, comparable à l'éclair, descendit le vallon, et se tourna vers Alçay. Il arrivait au col de Hangaitz, lorsqu'il entendit comme un bruit de cent clochettes derrière lui. Le serpent ayant avalé la peau de vache, la poudre avait pris feu. Il roula en bas du bois d'Ithe, fracassant les jeunes hêtres du bout de sa queue. Par Aussurucq il arriva à la mer et s'y noya. Pour le chevalier d'Athaguy, le sifflement du serpent et le bruit convertirent son sang en eau ; il entra dans son lit et mourut. "
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MessageSujet: Re: Légendes de 71 à 80   Légendes de 71 à 80 Icon_minitime2/2/2007, 04:16

La ceinture enchantée

En ce temps là les lamiñak qui habitaient la grotte de Sare tinrent conseil pour aviser aux moyens de montrer la vanité du pouvoir des prêtres. Leur décision prise, une lamiña s'adressa à un homme, son voisin, et lui dit:
-" Va vers le curé de Sare et dis lui, de notre part, qu'il vienne sans faute à la grotte, parceque nous voulons nous entretenir avec lui".
Le pauvre homme, intimidé, se rend au logis du curé de Sare et lui dit:
-" Monsieur, je viens de la part des lamiñak de la vieille grotte, vous dire que vous alliez les trouver et qu'elles veulent absolument s'entretenir avec vous".
-" J'irai sans faute", répondit le curé, et aussitôt il se mit en route.
Mais la vertu du curé fit une telle peur aux lamiñak qu'elles s'enfoncèrent toutes dans leur trou et qu'aucune n'osa l'attendre. Il s'en retourna donc tranquillement chez lui sans avoir vu une seule lamiña. les lamiñak imaginent alors un autre stratagème. Elles reviennent à leur messager:
-"Qu'était-ce que cet homme vêtu de noir, disent-elles, qui était ici tout à l'heure ? Voici: tu lui porteras cette ceinture de soie de notre part, et tu lui diras qu'il s'en ceigne jusqu'à ce qu'elle soit usée".
L'homme, obéissant, va trouver de nouveau le curé et lui dit:
-" Monsieur, je viens encore à vous de la part des lamiñak; et voici une ceinture de soie qu'elles vous envoient pour la porter jusqu'à ce qu'elle soit usée.
-" Avez-vous mesuré la longueur de cette ceinture de soie, demanda le curé.
-" Non monsieur.
-" Eh bien ! vous connaissez le châtaignier qui est près de la grotte. Allez et mesurez combien de fois la ceinture en fera le tour".
L'homme s'en va, toujours obéissant, et déroule la ceinture autour de l'arbre. Mais, comme il arrivait au bout, voilà que tout d'un coup l'arbre et la ceinture disparaissent et l'homme demeure là, ne pouvant rien comprendre et stupéfié.
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MessageSujet: Re: Légendes de 71 à 80   Légendes de 71 à 80 Icon_minitime2/2/2007, 04:16

Le jeune écolier

IL y avait une fois un monsieur et une dame. Ils avaient un enfant. Le père était capitaine de navire. La mère envoyait toujours son fils à l'école et quand le père revenait de ses voyages il deman­dait à son fils s'il avait beaucoup appris de choses à l'école. La mère répondait : « Non, non ! pas beaucoup. »
Le père repartit encore en voyage. Il rentra à la maison pour la deuxième fois. «Mon enfant, qu'as-tu appris à l'école ?
- Rien ! répondit l'enfant à son père.
-Tu n'as rien appris?»
Le capitaine alla trouver le maître et lui demanda si son enfant n'apprenait rien.
« Je ne peux rien faire entrer dans la tête de cet enfant. »
Le garçon arriva et le père lui demanda à nouveau ce qu'il avait appris à l'école.
« (À comprendre) le chant des oiseaux. C'est tout.
-Oh, mon fils, le chant des oiseaux! le chant des oiseaux ! Viens ! viens à bord du bateau avec moi ! »
Et il l'emmena avec lui. Durant la traversée, un oiseau vint et se mît à l'arrière du bateau, chantant : « Wirittittî. kirikiriki. »
«Mon fils, viens, viens, au lieu de commencer par apprendre l'art d'être capitaine tu as appris le chant des oiseaux. Sais-tu ce que chante cet oiseau?
-Oui, mon père. Je sais qu'il chante que je suis à pré­sent sous vos ordres, mais que vous serez aussi sous les miens. »
Que fit le capitaine ? Il prit une barrique, cassa le dessus et mit son fils dedans. Il ferma la barrique, la jeta à la mer et une tempête la rejeta à terre.
Un roi passait juste à ce moment-là et il trouva cette barrique et fit venir ses hommes. Ils commencèrent par vouloir la casser et le garçon s'écria de l'intérieur :
« Doucement, doucement, il y a quelqu'un dedans. »
Ils ouvrirent la barrique et le garçon en sortit. Le roi l'emmena chez lui et il épousa la fille du roi.
Un jour, le père de ce garçon fut pris dans une grosse tempête et le capitaine fut rejeté sur un bord de mer. Il alla chez le roi et il vit son fils. Le fils reconnut le père, mais le père ne reconnut pas du tout son fils et il devint le domes­tique de son propre fils. Un jour il lui dit :
« Reconnaissez-vous qui je suis ?
-Non, monsieur.
-Je suis Untel, votre fils. À tel moment vous m'avez jeté à la mer dans une barrique et maintenant le chant de l'oiseau est devenu vrai. »
Et après cela le père et le fils vécurent très heureux ensemble.
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MessageSujet: Re: Légendes de 71 à 80   Légendes de 71 à 80 Icon_minitime2/2/2007, 04:17

La servante d'Arbeldi

Une jeune fille faisait office de servante dans une maison d'Aya, quartier d'Ataun. Elle descendait tous les samedis à sa maison natale. Elle y demeurait avec les siens jusqu'au dimanche, en fin de journée.

A l'heure de partir pour Aya elle n'avait aucune envie, elle était sans ressort. Un dimanche elle se montra encore plus paresseuse que d'habitude, elle ne partit pas de chez elle, et ce en dépit de la soirée qui s'annonçait. Comme la nuit tombait, sa mère, contrariée, la maudit.

Elle finit par partir à Aya. Comme elle passait près du gouffre d'Agamunda, elle vit à son entrée un noisetier chargé de fruits. Elle voulut en prendre quelques uns et monta à l'arbre, mais elle fut si peu chanseuse qu'elle glissa et sombra dans l'âbime.

On ne sut plus rien d'elle jusqu'à ce qu'un soir les gens du quartier Ergoone virent comme une crevasse dans la roche, sous le pont d'Arbeldi.
De là sortait la moitié d'un bras humain. Ils le tirèrent mais du fond de l'anfractuosité une voix se fit entendre: "laissez cela en paix, c'est à moi".
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MessageSujet: Re: Légendes de 71 à 80   Légendes de 71 à 80 Icon_minitime2/2/2007, 04:17

Le champ d'Iribarne

Iribarne d'Aussurucq, aujourd'hui défunt, allant à sa grange, trouva près de la croix des champs un peigne d'or qu'une lamiña y avait oublié. Quand il revint, la lamiña le pria de lui rendre son peigne; mais Iribarne nia qu'il l'eût trouvé.
La même nuit, le champ d'Iribarne, voisin de la croix, fut couvert de pierres d'une telle grosseur, qu'aucun homme n'aurait pu les remuer; et le matin Iribarne vit avec douleur son champ ruiné et revint conter son malheur à la maison. Son voisin le plus proche lui fit entendre que sans doute il avait blessé les lamiñak, seuls en état de porter ces grosses pierres en une seule nuit.
Iribarne essaya encore de nier, puis finit par avouer qu'il avait trouvé un peigne d'or et refusé de le rendre à la prière de la lamiña. Le voisin lui conseilla de reporter le peigne d'or où il l'avait trouvé, Iribarne y consentit et, dès la nuit suivante, son champ fut débarrassé de toutes les pierres qui l'encombraient.
Depuis ce moment, tout le monde respecta les objets appartenant aux lamiñak.
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MessageSujet: Re: Légendes de 71 à 80   Légendes de 71 à 80 Icon_minitime2/2/2007, 04:18

La jument d'Obantzun

Les voisins de la maison Etsoinberri avaient une jument. Tous les jours ils l'envoyaient paître à la montagne, ils la redescendaient le soir. Le domestique et la domestique se chargeaient de ce travail. Ils avaient pris une habitude: celui qui voyait la bête le premier revenait en la chevauchant.
Un jour ce fut la domestique qui la vit et, tout en disant
"voici notre jument noire", elle courut et la monta en un clin d'oeil.

L'animal s'en alla en direction du gouffre d'Obantzun où elle pénétra avec sa cavalière.
Le domestique resta quelque temps à regarder dans l'abîme; mais aucun signe, ni de la jument ni de la domestique. Il s'en retourna à la maison tout en se demandant:
"quelle jument était-ce donc que celle-là ?" lorsqu'il vit, plus bas, dans un bas-fond, la véritable jument d'Etsoinberri.

Quelque temps après, alors que les gens de la maison allèrent laver leur linge, ils trouvèrent dans la fontaine d'Itturan les boucles d'oreille et la bague de la domestique captive.
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