Malphas
Sens-tu la froideur de l’acier ?
Sur ta gorge, se serrer, t’étouffer ?
Sens tu ô menteur insipide,
Ma haine la plus noire ? Cupide !
Vois-tu ma lame sombre briller ?
D’une envie féroce de te tuer ?
O grand bannisseur de nos lois,
De nos traditions et notre fois ?
Ta respiration s’accélère
Alors que mon gantelet te sert
Entends-tu hurler tes enfants
Soit disant bon, mais tellement dégoûtant ?
Retiens mon nom
Je suis Abaddon
Envoyé sur Terre depuis l’Enfer
Pour détruire ces déchets infectes
Entend mon nom
Je suis Malphas
Tuant cette terrible abomination
Mon gantelet se desserre, tu trépasses